Recherche avancée

Tercruso : Rapports d’étape 2013

Publié le 20 août 2019
par Alain Marcom

Après 4 années de recherche dans le Laboratoire des Matériaux et de la Durabilité de la Construction (LMDC), dans le double cadre de l’Université Paul Sabatier (UPS) et de l’Institut National des Sciences Appliquées (INSA), sous la conduite de Jean-Emmanuel Aubert, ainsi que dans le Laboratoire Régional des Ponts et Chaussées (LRPC) de Toulouse sous la conduite de Fabrice Rojat, le programme Tercruso clot provisoirement le cycle de travaux sur la caractérisation des briques et enduits de terre crue produits en Midi-Pyrénées.

PDF - 737.4 ko
Rapport final du LMDC- Tercruso - 2013

Le rapport final ci-contre, a été rédigé par Jean-Emmanuel Aubert, coordinateur de l’ensemble du programme. Il est issu des travaux de quatre étudiants-chercheurs qui se sont poursuivis entre 2010 et 2012, travaux présentés plus bas avec leurs rapports téléchargeables.


Travail au LRA - consommation d’énergie et l’émission de CO² des briques et enduits :

PDF - 565.9 ko
Rapport LRA - Impacts environnementaux - avril 2011

Pendant que le LMDC et le LRPC se penchaient sur les caractéristiques de la matière "terre", le Laboratoire de Recherche en Architecture (LRA) de l’Ecole Nationale Supérieure de l’Architecture de Toulouse se penchait lui sur la consommation d’énergie et l’émission de CO² des briques et enduits toulousains.

Laure Fernandez, Luc Floissac et Hans Valkhoff ont rédigé le rapport final de cette action de recherche. Pour en savoir plus, avec des chiffres, sur l’impact environnemental des briques et enduits de terre crue, c’est ce document qu’il faut lire.


Travaux aux LMDC et LRPC - sur les caractéristiques de la matière "terre" :

 

PDF - 1.6 Mo
Rapport du travail de Tanh Tran

1 - Pour ce qui concerne la caractérisation de la "terre" au LMDC, en 2010 Tanh Tran s’est intéressé à la matière des briques actuelles des briquetiers toulousains et d’un vieil adobe récupéré dans une ferme du Lauragais. Pour savoir ce que ces diverses briques "ont dans le ventre", c’est ce doc qu’il faut lire.
 

PDF - 3 Mo
Rapport du travail de Rémi Delinière

2 - En 2011, au LRPC, Rémi Delinière s’est intéressé à passer les produits toulousains dans le projet de norme élaboré à cette époque par les allemands. Afin de mesurer l’intérêt de cette norme, promulguée en Allemagne dans quelques semaines (cet article est écrit en avril 2013), les enduits ont été caractérisés selon les essais normalisés proposés. Si l’on veut connaître la pertinence scientifique des essais allemands, c’est ce doc qu’il faut lire.
 

PDF - 2.2 Mo
Rapport du travail de Déodonne Kunwufine

3 - Egalement en 2011, au LMDC, Déodonne Kunwufine a travaillé sur l’application du projet de norme allemande aux briques toulousaines. Il a centré son travail sur la résistance des briques à l’humidité et sur l’intérêt d’une éventuelle stabilisation de la terre. Si l’on veut savoir comment les briques de terre crue résistent à l’eau, selon la norme allemande, c’est ce doc qu’il faut lire.
 

PDF - 2 Mo
Rapport du travail d’Hugo Cagnon (2012)

4 - En 2012, au LMDC, Hugo Cagnon a plutôt axé son travail sur les relations passionnées que la terre entretient avec l’eau, et plus précisément avec la vapeur d’eau. Ainsi le gisement d’intérêt énorme que la terre recèle dans la construction, quand il s’agit d’évoquer le confort thermique, est confirmé. Si l’on veut en savoir un peu plus sur les relations entre la vapeur d’eau et la terre, c’est ce document qu’il faut lire.


Ces travaux de recherche ont incité à écrire des articles et à présenter des conférences, objets de communication pour les chercheurs parmi leurs pairs : l’un de Stéphane Mouligné et Al du LRPC, l’autre d’Hugo Cagnon du LMDC. A noter qu’Hugo Cagnon a obtenu un prix pour cette conférence

PDF - 269.7 ko
Conférence JNGG S. Mouligné
PDF - 419.1 ko
Conférence Nomad H. Cagnon

Que le lecteur ne se méprenne pas pour autant : la lecture de ces 6 rapports et de ces 2 articles enrichira probablement la connaissance qu’il a de la terre, mais le travail à accomplir pour commencer à penser que l’on sait tout sur la terre, reste, à la fin de ce premier chapitre de Tercruso, considérable !

Il est vrai que pour faire mille kilomètres il faut débuter par les premiers pas.

Présentation vidéo de Tercruso par Jean-Emmanuel AUBERT lors des 5e Assises nationales de la construction en terre crue le 17 octobre 2014 :


calle
calle
calle